Après avoir dirigé la très belle équipe de pâtisserie des cuisines du Prince de Galles, à Paris (au côté de Stéphanie Le Quellec), il décide de s’émanciper, de créer son propre univers. Il ouvre sa boutique et désormais, l’esprit « Couvreur » souffle sur le quartier Goncourt. Un quartier festif, éclectique, ouvert à tous les goûts, toutes les tendances.
Entre Belleville, République et le canal Saint-Martin…
Une élégance discrète, cosy… Derrière le comptoir, des jeunes pâtissiers se mettent à l’œuvre pour proposer des desserts minute à emporter ou à déguster sur place.
Bref, c’est dans une ambiance un peu coffee shop, que Yann Couvreur s’est aménagé son terrain de jeu.
Une fusion avec la pâtisserie de restaurant.
Une offre sucrée inédite à Paris, avec des « desserts à l’assiette ». Un défi à relever avec des présentations, des équilibres de saveurs et des textures aussi subtiles qu’éphémères.
Tout comme celles que l’on trouve sur les tables étoilées.
Parmi ces desserts, bien évidemment, le fameux millefeuille à la vanille de Madagascar estampillé Yann Couvreur. L’une de ses spécialités… Cinq feuilles craquantes façon kouign-amann…
Et sa fameuse pavlova, subtil mélange de meringues et de fruits.
Une gamme de viennoiseries roulées, servies à la pièce ou au mètre dont les goûts s’accorderont à la saison du moment.
Des kouglofs, le fameux kouign-amann au blé noir…
Astucieusement revisitée. Les gâteaux du jeune pâtissier jouent sur la superposition des produits, des saveurs, des textures…
Pour Yann Couvreur, « la pâtisserie est un jeu de construction, jusqu’à aboutir à une harmonie ».
L’on y trouve une collection d’Éclairs rectangulaires dont la base, une délicate et craquante pâte à chou, surprendra les plus blasés d’entre nous.
Une tarte au citron vert sur sa pâte sablée, et d’autres tartelettes ou de grands classiques tels le Saint-Honoré framboises et menthe ou encore le Fraisier…
Sous des formes contemporaines, tout est bon, tout est méticuleusement soigné.
Un jour, Yann Couvreur s’est découvert une passion : la pâtisserie. Et un dérivatif : l’art moderne.
Ainsi vont ses feuilletages, ses bouchées, tous ses « éclairs » de créativité…
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